James E. Faust (1920-2007), ancien membre de la Première Présidence, nous invite à mettre de côté nos préjugés et à travailler en tant que frères et sœurs dans le royaume : « J’espère que nous arrivons à surmonter toutes les différences de culture, de race et de langue… « … D’après mon expérience, aucune race ou classe ne semble supérieure à n’importe quelle autre en spiritualité ou en fidélité… « La paix spirituelle ne dépend pas de la race, de la culture ou de la nationalité ; elle s’obtient par notre engagement envers Dieu et par notre respect des alliances et des ordonnances de l’Évangile » (Conference Report, avril 1995, p. 80-81, 83 ; ou L’Étoile, juillet 1995, p. 72-73, 75).
M. Russell Ballard explique que les bénédictions de l’Évangile sont accessibles à tous les enfants de Dieu : « Notre Père céleste aime tous ses enfants de la même façon, parfaitement et infiniment. Son amour pour ses filles n’est pas différent de celui qu’il a pour ses fils. Notre Sauveur, le Seigneur Jésus-Christ, aime, lui aussi, les hommes et les femmes d’une manière égale. Son expiation et son Évangile sont pour tous les enfants de Dieu. Pendant son ministère terrestre, Jésus a servi les hommes et les femmes de la même façon. Il a guéri et instruit les hommes aussi bien que les femmes. « … Par exemple, la foi, le repentir, le baptême et le don du Saint-Esprit sont les conditions requises de tous les enfants de Dieu, quel que soit leur sexe. Il en va de même des alliances et des bénédictions du temple. L’œuvre et la gloire de notre Père céleste est de réaliser l’immortalité et la vie éternelle de ses enfants (voir Moïse 1:39)… Son don le plus grand, le don de la vie éternelle, est disponible pour tous » (« L’égalité par la diversité », L’Étoile, janvier 1994, p. 103).