Richard G. Scott, du Collège des douze apôtres, a défini clairement la loi de chasteté lorsqu’il a enseigné : « Toute activité sexuelle en dehors des liens du mariage, c’est-à-dire tout contact intentionnel avec les parties intimes sacrées du corps de quelqu’un d’autre, avec ou sans vêtements, est un péché et est interdit par Dieu. C’est également une transgression de stimuler intentionnellement ces émotions dans votre corps à vous » (Conference Report, octobre 1994, p. 51 ; ou L’Étoile, janvier 1995, p. 46). Frère Scott parle aussi de l’approbation divine concernant l’intimité dans le mariage, ainsi que de la condamnation divine de l’immoralité sexuelle. Il avertit : « Ces relations intimes sont interdites par le Seigneur en dehors de l’engagement durable du mariage parce qu’elles contrarient alors ses desseins. Dans le cadre de l’alliance sacrée du mariage, ces relations sont conformes à son plan. Vécues de toute autre manière, elles sont contraires à sa volonté. Elles causent alors de graves dommages émotionnels et spirituels. Même si ceux qui s’y adonnent ne s’en rendent pas compte tout de suite, ils s’en rendront compte plus tard. « L’immoralité sexuelle crée une barrière à l’influence du Saint-Esprit et à toutes ses facultés de nous édifier, de nous éclairer et de nous donner de la puissance. L’immoralité sexuelle provoque une grande stimulation physique et émotionnelle. Avec le temps, cette stimulation engendre des désirs insatiables qui poussent le transgresseur à commettre de plus en plus de péchés graves. Cette stimulation engendre l’égoïsme et peut conduire à des actes agressifs, tels que la brutalité, l’avortement, les sévices sexuels et les crimes. Cette stimulation peut conduire à des actes homosexuels, qui sont absolument mauvais » (Conference Report, octobre 1994, p. 50-51 ; ou L’Étoile, janvier 1995, p. 45-46).