Henry B. Eyring, de la Première Présidence, enseigne que le matérialisme est un obstacle à l’inspiration et à la spiritualité : « On oublie Dieu par vanité. Un peu de prospérité et de paix ou ne serait-ce qu’une légère amélioration, et nous nous croyons autonomes. Nous avons tout de suite l’impression que nous avons notre vie bien en mains, que c’est à nous-mêmes que nous devons l’amélioration, pas à un Dieu qui communique avec nous par le murmure doux et léger de l’Esprit. L’orgueil est tellement bruyant en nous qu’il nous est difficile d’entendre la voix discrète de l’Esprit. Et dans notre vanité, nous ne tardons pas à ne même plus l’écouter. Nous en arrivons vite à nous dire que nous n’en avons pas besoin » (Le Liahona, janvier 2002, p. 17). Hélaman 6:21, 26-31 Quels sont les mobiles de Lucifer et de ses disciples ? De quelle façon cela peut-il nous motiver à rester proches de notre Père céleste ?