James E. Faust (1920-2007), de la Première Présidence, met en garde contre la curiosité au sujet des mystères de Satan: « Il n’est pas bon de se laisser attirer par Satan et ses mystères. On ne tire rien de bon à s’approcher du mal. C’est comme de jouer avec le feu : on peut très facilement se brûler… La seule voie sûre consiste à garder ses distances avec Satan et avec toutes ses activités mauvaises ou toutes ses pratiques malfaisantes. On évitera comme la peste les méfaits du culte satanique, de la sorcellerie, des sorts, de la magie, du vaudou, de la magie noire et de toute autre forme de satanisme » (dans L’Étoile, janvier 1988, p. 30).