Quand il était membre de l’épiscopat président, Glenn L. Pace nous a demandé de nous efforcer d’imiter l’amour de Mormon : « Ce prophète éprouvait un amour chrétien pour un peuple déchu. Pouvons-nous nous satisfaire d’aimer moins ? Nous devons œuvrer, animés de l’amour pur du Christ, pour répandre la bonne nouvelle de l’Évangile. Lorsque nous le faisons et luttons contre le mal, les ténèbres et le mensonge, nous ne devons pas négliger de panser les blessures de ceux qui sont tombés dans la bataille. Dans le royaume, il n’y a pas de place pour le fatalisme » (dans L’Étoile, janvier 1991, p. 7).