Neal A. Maxwell explique que l’espérance dont parlait Mormon est liée à la foi au Seigneur Jésus-Christ : « Nous utilisons chaque jour le mot espérer : par exemple nous ‘espérons’ arriver à une destination à un certain moment. Nous ‘espérons’ que l’économie mondiale va s’améliorer. Nous ‘espérons’ la visite d’un être cher. Ce sont là des exemples de nos espoirs sincères mais à court terme. « Les déceptions de la vie sont souvent les débris de nos espoirs déçus en des choses à court terme. Ce dont je parle moi, c’est de la nécessité vitale de l’espérance suprême. « L’espérance suprême est quelque chose de différent. Elle est liée à Jésus et aux bénédictions de la grande Expiation, bénédictions qui produisent la résurrection universelle et la possibilité précieuse qui nous est offerte d’appliquer le repentir libérateur, accomplissant ainsi ce que les Écritures appellent ‘une espérance d’une pureté parfaite’ (2 Néphi 31:20). « Moroni confirme : ‘Et qu’allez-vous espérer ? Voici, je vous dis que vous aurez l’espérance, par l’expiation du Christ’ (Moroni 7:40-41 ; voir aussi Alma 27:28). La véritable espérance n’est donc pas associée aux choses temporaires, mais bien aux choses immortelles et éternelles ! » (Conference Report, avril 1998, p. 77 ; ou L’Étoile janvier 1999, p. 70).