Salut

Et maintenant, que Dieu accorde à ceux-ci, mes frères, de s’asseoir dans le royaume de Dieu ; oui, et aussi à tous ceux qui sont le fruit de leurs travaux, de n’en plus sortir, mais de le louer à jamais. Et veuille Dieu que cela se fasse selon mes paroles, oui, comme je l’ai dit. Amen.

De la section: L’immigration des enfants d’Ammon

De la page: Zarahemla sous le Règne Judiciaire