Rois et factions

Voici, ô mon peuple, ou mes frères, car je vous estime comme tels, je désire que vous examiniez l’affaire que vous êtes appelés à examiner : car vous désirez avoir un roi. Or, je vous annonce que celui à qui le royaume appartient de droit a refusé, et ne prendra pas sur lui le royaume.

Et maintenant, si un autre était désigné à sa place, voici, je crains que des querelles ne s’élèvent parmi vous. Et qui sait si mon fils, à qui le royaume appartient, ne se mettrait pas en colère et n’entraînerait pas une partie de ce peuple après lui, ce qui causerait des guerres et des querelles parmi vous, ce qui serait la cause de l’effusion de beaucoup de sang et d’une perversion de la voie du Seigneur, oui, et ferait périr l’âme de beaucoup de gens.

De la section: Réforme gouvernementale

De la page: Zarahemla sous la règle monarchique