Maintenant, je vous le dis, soyons sages, et examinons ces choses, car nous n’avons pas le droit de faire périr mon fils, et nous n’avons pas non plus le droit d’en faire périr un autre, s’il était désigné à sa place. Et si mon fils revenait à son orgueil et aux choses vaines, il rétracterait les choses qu’il a dites et ferait valoir son droit au royaume, ce qui le ferait pécher grandement, lui et aussi ce peuple. Et soyons donc sages, et prévoyons ces choses, et faisons ce qui contribuera à la paix de ce peuple.